18.1.10

Agboaerunhae;thuignaerhhaehartjsryasd.
J'ai trop de choses a dire à une seule personne
J'essai d'le sortir de mes idées, mais sans fin


Ses phéromones pleins les narines, j'ai beau expiré, l'odeur reste imprégné. Son sourire, ses lèvres, ah ... quel martyre qu'est de les contempler, sans pouvoir les effleurer, les embrasser. Son regard, ses yeux, chaleureux comme une brise du mois de mai. Et quel extase serait de pouvoir simplement me blottir dans ses bras, ma joue contre son torse; mon oreille à l'écoute de son cœur, à la musique de son amour.

Ma main dans la sienne, nous formerions qu'un seul tout
Que 1+1 donne 1, au diable la logique, on s'en fou
J'ai des états lunatiques, des pensées charnelles
Mon amour est un idéal euphorique, et irrationnel.



Love Scene, version 6

« M'accorderiez-vous cette danse, Cher? »

23.12.09

13 minutes pour m'exprimer.

J'ai retrouvé l'harmonie intérieur qui me remplissait si souvent de bonheur. J'ai fini de sombrer et de déserter dans les terres de la mélancolie. Mes ailes se déploient et je planerai bientôt au-dessus de tout les gens; de tout ces gens.

Pour l'instant, on ne fait que me piétiner. On essaie de m'affaiblir. Mon coeur, toujours aussi tendre, se martèle de coup, le masochiste. Il continu de croire que les gens, ces gens, sont bons, sont biens. Car le passé ne s'oublie pas, car l'amour ne meurt pas. Car sa bonté souffre des mensonges, des fausses paroles, des sourires haineux, des regards de feu. Je resterai forte. Ma défaite n'a pas encore sonnée.

Mes ailes se déploieront, bientôt. Vous me verrai, auprès des miens, plus haut.
Les Anges, eux, m'accueilleront.

Temps écoulé.

17.11.09

Et puis j'suis là, a essayer de reconstruire mon monde, qui est devenu tranquillement que poussières. Mes mains écorchés par le malheur, se cicatrisent. Mes gales, mes maux, mes douleurs se dissipent. C'est bien vous me direz. Mais les murs sont fragile. Mon eau est lucide. Mais.
Il y a un mais, toujours un mais.

10.11.09

J'en ai rien a chier, des normes pis d'la société
Rien a cirer, d'une vie pré-destinée
On dit qu'on est libre, on dit qu'on est pas laissé d'coté
Mais c'est d'la bullshit, on s'fait toute manipulé
Damn, allez toutes chier.

2.11.09

Je sombre, encore et encore.
Le temps passe a une lenteur épouvantable, qu'il file si rapidement à la fois. J'ai à peine le temp de vivre comme bon me semblerais. On me pousse dans l'dos, malgré mes blessures, malgré mes maux. J'étais pourtant heureuse aujourd'hui. On dirait que mon bonheur n'est qu'un simple rêve oublier. Je finis par me reveiller, et je réalise a quel point le goût de vivre m'a quitté.


J'ai rien à rajouter.
Bonne nuit.